Boutique de souvenirs exploitée par la famille « Ongenae » depuis des décennies Place Reine Astrid à Dinant (Belgique).
Site internet: www.aubonheurdedinant.be
Boutique de souvenirs exploitée par la famille « Ongenae » depuis des décennies Place Reine Astrid à Dinant (Belgique).
Site internet: www.aubonheurdedinant.be
Des camionneurs bloquent les autoroutes belges pour protester contre la taxe kilométrique. Le lancement de la nouvelle taxe kilométrique dans toute la Belgique le 1er avril a rencontré des protestations de camionneurs qui ont eu recours au blocage des sorties d’autoroute et des échangeurs. Près de Spontin, ce mercredi après-midi, un groupe de camionneurs a repris les voies de l’autoroute E411 très fréquentée de Bruxelles en direction de Luxembourg, créant des embouteillages importants.
Abritée dans la prestigieuse « Maison espagnole » de Bouvignes (Dinant), la Maison du patrimoine médiéval mosan a pour vocation de mettre en valeur le cadre naturel, historique et patrimonial de la vallée de la Meuse et de remonter le cours de son fabuleux passé. La Maison du patrimoine médiéval mosan vous invite à visiter ses expositions permanente et temporaire et à participer aux diverses animations qu’elle organise.
Infos Pratiques:
Maison du Patrimoine Médiéval Mosan
Place du Bailliage, 16
5500 Bouvignes (Dinant)
Tel. +32 (0)82 22 36 16
www.mpmm.be
info@mpmm.be
Inauguré le 23 août 2014 en présence du roi et des autorités, le mémorial aux victimes du 23 août 1914 est une œuvre de l’atelier d’architecture bruxellois Kascen. Sa forme s’apparente à celle d’une stèle ultra sobre, tel un monolithe émergeant du sol dans lequel une crypte s’enracine. Fondé dans la mémoire et le passé, il remplace le monument originel jadis situé Place d’Armes, intitulé Furore Teutonico, inauguré en 1936 et détruit par les Allemands en mai 1940.
Ce nouveau mémorial est une coiffe avec un angle sommital de 90°, écho au transept de la collégiale en arrière-plan, épousant le contexte urbain. Ses dimensions ont été symboliquement extrapolées à partir du chiffre 674 ; nombre de victimes civiles dinantaises.
Des textes percés dans les parois illuminent intimement l’espace. Il s’agit des noms des victimes comme gravés dans le ciel où l’imaginaire se plaît à voir le souvenir des défunts et les messages de paix qui éclairent à jamais les ténèbres, en autant de métaphores lumineuses du souvenir.
L’entrée dans le mémorial se veut être un voyage intérieur, humble et respectueux, à la recherche des patronymes disparus. Des noms, uniquement lisibles de l’intérieur qui se découpent dans le ciel dinantais et que les rayons du soleil projettent sur le sol ou sur les visiteurs eux-mêmes par temps ensoleillé. L’âge des victimes est signifié via un graphisme épuré, fait d’un carré pour un an et d’une ligne pour une dizaine d’années.
Des appels à la paix se dévoilent depuis l’extérieur, clamés en promesse d’espoir au monde des vivants.
Une cartographie des massacres est dessinée à même la tôle. Chaque lieu d’exécution collective est marqué par des perforations évoquant les impacts de balles ayant frappé les victimes et les façades de la cité. Au centre, le lit de la Meuse accueille des paroles de paix réconciliatrices.
Enfin, la matérialité de la rouille renvoie à un effet sur un objet de métal à l’abandon, conséquence d’une guerre.
Le Grognon est le cœur historique de la ville belge de Namur, capitale de la Wallonie, prenant la forme d’une pointe de terre à la confluence de la Sambre et de la Meuse. L’ancien hospice Saint-Gilles (côté Meuse) abrite le Parlement de Wallonie.
Le site fut autrefois le poste de perception d’un impôt de passage pour les chalands.
Les lieux furent habités en continu jusqu’au XXe siècle. Entre 1968 et 1972, les habitations de la pointe extrême du Grognon, en voie de taudification, furent rasées, seuls l’hospice Saint-Gilles et la rue Notre-Dame furent conservés.
Après la démolition du quartier en 1972, des fouilles archéologiques faites par l’Université libre de Bruxelles et le Musée archéologique de Namur ont révélé une portion de route et des caves d’époque romaine. Des sondages ont révélé une occupation du site remontant au Mésolithique, soit 6 700 ans avant notre ère. Le Néolithique final a vu également une occupation sporadique de la pointe du confluent.
Étymologie : Un grognon est une petite proéminence en forme de bec (de l’ancien français groin).(Sources: Wikipédia)
Copyrights©360images.be – All rights reserved